<HTML>
<HEAD>
<TITLE>Manif nationale 24 septembre : on compte sur vous !</TITLE>
</HEAD>
<BODY>
<P ALIGN=CENTER>
<FONT SIZE="2"><FONT FACE="Verdana, Helvetica, Arial"><SPAN STYLE='font-size:10.0px'><B>Merci de retransmettre ce mail à vos correspondants.<BR>
</B></SPAN></FONT></FONT><FONT FACE="Verdana, Helvetica, Arial"><B><FONT SIZE="4"><SPAN STYLE='font-size:14.0px'><BR>
Manifestation nationale du samedi 24 septembre à 13 à Bar Le Duc (Meuse)<BR>
<FONT COLOR="#800000">Déchets nucléaires : n’empoisonnez pas la Terre !<BR>
</FONT></SPAN></FONT></B><FONT SIZE="4"><SPAN STYLE='font-size:14.0px'><BR>
Nous devons être très nombreux pour faire entendre notre voix. <BR>
</SPAN></FONT><SPAN STYLE='font-size:12.0px'><BR>
</SPAN><FONT SIZE="4"><SPAN STYLE='font-size:14.0px'><B>Rejoignez le départ groupé le plus proche de chez vous : <BR>
www.sortirdunucleaire.fr <BR>
</B></SPAN></FONT><SPAN STYLE='font-size:12.0px'><BR>
</SPAN><FONT SIZE="2"><SPAN STYLE='font-size:10.0px'><I>Si vous ne pouvez pas venir, merci pour votre soutien financier à :<BR>
Réseau “Sortir du nucléaire” 9, rue Dumenge 69317 Lyon Cedex 04 (Chèque à l’ordre de “Sortir du nucléaire”).
</I></SPAN></FONT></FONT>
<P>
<FONT FACE="Verdana, Helvetica, Arial"><SPAN STYLE='font-size:12.0px'><HR ALIGN=CENTER SIZE="3" WIDTH="95%"></SPAN></FONT><FONT SIZE="4"><FONT FACE="Geneva, Verdana, Helvetica, Arial"><SPAN STYLE='font-size:14.0px'><B>Le Monde - 12/09/2005 <BR>
</B><BR>
<B>Le débat sur les déchets nucléaires <BR>
est contesté par les antinucléaires <BR>
</B></SPAN></FONT></FONT><FONT FACE="Geneva, Verdana, Helvetica, Arial"><SPAN STYLE='font-size:12.0px'><BR>
A l'appel du Réseau "Sortir du nucléaire", une cinquantaine d'opposants au <BR>
nucléaire ont contesté le débat public national sur la gestion des déchets <BR>
radioactifs, ouvert, lundi 12 septembre, à Bar-le-Duc (Meuse). Il s'agit de <BR>
la première étape du débat qui doit se poursuivre pendant quatre mois dans <BR>
13 villes de France. La première des réunions prévues pour "auditionner les <BR>
publics directement concernés" par le stockage géologique est l'un des trois <BR>
axes de recherche avec la transmutation et l'entreposage en surface. <BR>
<BR>
Bar-le-Duc est situé à proximité du laboratoire de recherche de Bure (Meuse) <BR>
où l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), qui <BR>
étudie depuis 1999 la faisabilité du stockage géologique à 480 mètres de <BR>
profondeur. Les débats s'appuieront sur les rapports remis au gouvernement <BR>
le 30 juin par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et par l'Andra, <BR>
aboutissement de 14 années de recherche sur les aspects scientifiques de <BR>
cette question. <BR>
<BR>
Mais pour les opposants, le débat est entendu, car "La <BR>
séparation/transmutation est de l'ordre de la mission impossible, <BR>
l'entreposage en sub-surface n'est que transitoire, l'enfouissement en <BR>
grande profondeur est synonyme de contamination inéluctable, à très grande <BR>
échelle". <BR>
<BR>
<B>UN DÉBAT "CADUC" <BR>
</B><BR>
Le réseau "Sortir du nucléaire", qui fédère 718 associations opposées à <BR>
cette énergie produisant des déchets radioactifs, a annoncé qu'il ne <BR>
participerait pas à ce débat qu'il estime "caduc". Les collectifs Bure-Stop <BR>
et la Coordination nationale contre l'enfouissement des déchets nucléaires <BR>
ont, quant à eux, qualifié le débat de "tronqué et trompeur". "Nul au monde <BR>
ne sait gérer les déchets issus de 40 années de production <BR>
électronucléaire", ont-ils estimé. <BR>
<BR>
Nelly Olin, ministre de l'écologie et du développement durable, et François <BR>
Loos, ministre délégué à l'industrie, ont invité "les Français à participer <BR>
au débat sur la gestion des déchets radioactifs". "Ce sujet est important et <BR>
ne doit pas être réservé à un cercle d'experts, industriels et associatifs", <BR>
ont indiqué les ministres dans un communiqué. <BR>
Pour Corinne François, porte-parole de la Coordination contre l'enfouissement, "les déchets à haute <BR>
activité et à vie longue sont dangereux pendant des milliers, voire des <BR>
millions d'années et aucun sous-sol ne peut contenir leur toxicité". "A-t-on <BR>
le droit de faire ça aux générations futures?", s'est-elle interrogée. <BR>
<BR>
La Commission particulière soumettra courant janvier 2006 son compte-rendu à <BR>
la Commission nationale du débat public (CNDP). La version finale sera <BR>
rendue publique le 31 janvier après avoir été remise au gouvernement dans le <BR>
cadre de la préparation d'un projet de loi sur la question qui sera présenté <BR>
au Parlement au deuxième trimestre 2006. </SPAN></FONT>
</BODY>
</HTML>