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<TITLE>UN LIVRE EVENEMENT - LIENS NUCLEAIRE CIVIL ET MILITAIRE</TITLE>
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<FONT FACE="Verdana, Helvetica, Arial"><SPAN STYLE='font-size:12.0px'><B><I><U>Merci de bien vouloir insérer ce communiqué de presse dans vos colonnes.<BR>
</U></I><BR>
Vient de paraître <BR>
Un livre événement à l'occasion des 60 ans d'Hiroshima et Nagasaky.<BR>
</B></SPAN><FONT COLOR="#800000"><FONT SIZE="4"><SPAN STYLE='font-size:14.0px'><BR>
<B>Le complexe nucléaire<BR>
Des liens entre l’atome civil et l’atome militaire.<BR>
</B></SPAN></FONT></FONT><SPAN STYLE='font-size:12.0px'> <BR>
La lutte contre la prolifération est d’actualité au moment où l’Iran est soupçonné de préparer sa bombe. Soixante ans après les explosions des bombes nucléaires à Hiroshima et à Nagasaki, au lieu d’interdire toutes les armes nucléaires, la communauté internationale fait le « choix » de limiter impérativement le « club » des possesseurs de l’arme nucléaire. <BR>
« Bien que nul n’ignore que la voie d’accès à la bombe est le développement de l’industrie nucléaire civile (dite « à des fins pacifiques »), ceux-là même qui veulent mettre le holà à la prolifération des armes sont les ardents promoteurs de cette industrie » constate Bruno Barrillot dans son dernier ouvrage “Le complexe nucléaire”.<BR>
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En 1968, l’hypocrite Traité de non-prolifération, distinguait les Etats « dotés de l’arme nucléaire » et les Etats « non dotés de l’arme nucléaire » qui, eux, recevaient en contrepartie le droit d’accéder aux bienfaits de l’énergie nucléaire. Aujourd’hui, alors qu’éclatent au grand jour les risques de prolifération, faudra-t-il créer une nouvelle discrimination entre les Etats « nucléairement sûrs » et les Etats « nucléairement non sûrs » ? <BR>
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En pleine reconstruction diplomatique et économique, la France de l’après Deuxième Guerre mondiale a investit massivement dans le nucléaire civil et militaire et s’est faite le champion de cette « prolifération à des fins pacifiques ». Ce qu’elle avait réalisé elle-même entre 1945 et 1958 en camouflant son programme militaire sous couvert de développement du nucléaire civil, elle tente aujourd’hui, avec les Européens et les Etats-Unis, de l’interdire aux autres. À juste titre certainement, car le monde ne sera pas plus sûr si se multiplient les Etats possesseurs de l’arme nucléaire. À l’évidence, il faut constater que « la poursuite du nucléaire civil bloque le désarmement nucléaire ».<BR>
Tel est le propos du livre Le complexe nucléaire. Des liens entre l’atome civil et l’atome militaire.<BR>
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<I>Le complexe nucléaire. Des liens entre l’atome civil et l’atome militaire (ISBN : 2-913374-17-4), auteur : Bruno Barrillot. <BR>
Co-édition : Observatoire des armes nucléaires françaises/Réseau « Sortir du nucléaire », 144 pages, 13 euros (port compris) Chèque à l’ordre de “Sortir du nucléaire” à commander au Réseau Sortir du nucléaire 9, rue Dumenge 69317 Lyon Cedex 04.<BR>
</I> <BR>
Contacts :<BR>
Observatoire des armes nucléaires françaises : Tél : 04 78 36 93 03 - Mèl : cdrpc@obsarm.org<BR>
Réseau Sortir du nucléaire : Tél : 06 64 100 333 <BR>
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